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zaher.nourredine@gmail.com

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Créé le : 30/10/2011 10:35
Modifié : 26/12/2012 21:55

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Societe souverain capitaliste communiste

14/07/2012 16:28



 

 








Présentation

Comment entreprendre ? Manuel á l'usage des jeunes


Qu'est-ce que l'economie sociale ?

Quels sont les statuts
possibles ?

Quelles aides peut-on avoir ?




Partenaires

Liens Utiles

Bonnes pratiques

Charte







Ni secteur privé classique, ni secteur public, l'économie sociale est généralement considérée comme un troisième secteur, un espace hors des étiquettes traditionnelles où économique rime avec éthique, solidarité et humanisme.
Aux États-Unis, on utilise les termes de non-profit organisations ; en Angleterre, de volontary sector ; dans les pays latins, on parle d'économie sociale ou encore d’économie solidaire. Mais si tous ces termes ne sont pas équivalents, ils désignent une même réalité : un troisième secteur.

En 1990, le Conseil wallon de l'économie sociale (CWES) a dégagé une définition qui fait une certaine unanimité1 :

"L'économie sociale regroupe les activités économiques exercées par des sociétés, principalement coopératives, des mutualités et des associations, dont l'éthique se caractérise par la finalité de service aux membres ou à la collectivité plutôt que de profit, l'autonomie de gestion, le processus de décision démocratique et la primauté des personnes et du travail sur le capital dans la répartition des revenus".

Ces principes se situent bien au niveau des finalités et des modes d'organisation.

â La finalité de service aux membres ou à la collectivité plutôt que de profit : l'entreprise d'économie sociale est elle-même, par la nature de son activité, un service rendu à ses membres ou à d'autres personnes et non un outil de rapport financier. Le dégagement de certains excédents est souvent un moyen de réaliser ce service, mais non le mobile principal de l'activité.

â L'autonomie de gestion : cette autonomie vise principalement à distinguer l'économie sociale de la production de biens et de services par les pouvoirs publics. Les activités économiques menées par ces derniers ne disposent pas, en général, de la large autonomie qui constitue un ressort essentiel de toute dynamique associative.
â Le processus de décision démocratique : la démocratie, dans le processus de décision, renvoie au principe central de la coopération "un homme/une voix". Difficile à mettre en œuvre dans les entités de grande taille, la participation du plus grand nombre à la décision est pourtant une exigence essentielle.

â La primauté des personnes et du travail sur le capital dans la répartition des revenus : ce principe traduit des pratiques variées au sein des entreprises d'économie sociale (rémunération limitée du capital, répartition des excédents entre les travailleurs ou entre les membres usagers sous forme de ristourne...). Il n'empêche cependant pas de reconnaître la nécessité d'offrir au capital une rémunération suffisamment attractive pour permettre, en particulier aux coopératives ou aux sociétés à finalité sociale, de développer leurs fonds propres.

Les quatre fondements énoncés par le CWES ne constituent qu’une base pour beaucoup d’entreprises d’économie sociale qui y ajoutent d’autres critères tels que l’importance de la formation et de la création d’emploi pour personnes peu qualifiées, le respect de faibles écarts entre les salaires les plus bas et les salaires les plus élevés au sein d’une même entreprise, l’inscription dans une démarche de respect de l’environnement, le pluralisme des opinions politiques, philosophiques et religieuses, la coopération avec d’autres partenaires...

L'économie sociale est avant tout l'histoire d'hommes et de femmes qui prennent collectivement des initiatives, qui lancent des activités pour répondre aux défis d'une époque, qui se mettent au service de l'homme et non de la rémunération de capitaux. En ce sens, l'économie sociale est plus une dynamique qu'une réalité figée.


1 Depuis la formulation de cette définition en 1990, certains ajouteraient volontiers dans les sociétés, la société à finalité sociale (apparue en 1996) et, dans les principes, le développement durable.






graphisme: www.pazlopez.com








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possibles ?

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Ni secteur privé classique, ni secteur public, l'économie sociale est généralement considérée comme un troisième secteur, un espace hors des étiquettes traditionnelles où économique rime avec éthique, solidarité et humanisme.
Aux États-Unis, on utilise les termes de non-profit organisations ; en Angleterre, de volontary sector ; dans les pays latins, on parle d'économie sociale ou encore d’économie solidaire. Mais si tous ces termes ne sont pas équivalents, ils désignent une même réalité : un troisième secteur.

En 1990, le Conseil wallon de l'économie sociale (CWES) a dégagé une définition qui fait une certaine unanimité1 :

"L'économie sociale regroupe les activités économiques exercées par des sociétés, principalement coopératives, des mutualités et des associations, dont l'éthique se caractérise par la finalité de service aux membres ou à la collectivité plutôt que de profit, l'autonomie de gestion, le processus de décision démocratique et la primauté des personnes et du travail sur le capital dans la répartition des revenus".

Ces principes se situent bien au niveau des finalités et des modes d'organisation.

â La finalité de service aux membres ou à la collectivité plutôt que de profit : l'entreprise d'économie sociale est elle-même, par la nature de son activité, un service rendu à ses membres ou à d'autres personnes et non un outil de rapport financier. Le dégagement de certains excédents est souvent un moyen de réaliser ce service, mais non le mobile principal de l'activité.

â L'autonomie de gestion : cette autonomie vise principalement à distinguer l'économie sociale de la production de biens et de services par les pouvoirs publics. Les activités économiques menées par ces derniers ne disposent pas, en général, de la large autonomie qui constitue un ressort essentiel de toute dynamique associative.
â Le processus de décision démocratique : la démocratie, dans le processus de décision, renvoie au principe central de la coopération "un homme/une voix". Difficile à mettre en œuvre dans les entités de grande taille, la participation du plus grand nombre à la décision est pourtant une exigence essentielle.

â La primauté des personnes et du travail sur le capital dans la répartition des revenus : ce principe traduit des pratiques variées au sein des entreprises d'économie sociale (rémunération limitée du capital, répartition des excédents entre les travailleurs ou entre les membres usagers sous forme de ristourne...). Il n'empêche cependant pas de reconnaître la nécessité d'offrir au capital une rémunération suffisamment attractive pour permettre, en particulier aux coopératives ou aux sociétés à finalité sociale, de développer leurs fonds propres.

Les quatre fondements énoncés par le CWES ne constituent qu’une base pour beaucoup d’entreprises d’économie sociale qui y ajoutent d’autres critères tels que l’importance de la formation et de la création d’emploi pour personnes peu qualifiées, le respect de faibles écarts entre les salaires les plus bas et les salaires les plus élevés au sein d’une même entreprise, l’inscription dans une démarche de respect de l’environnement, le pluralisme des opinions politiques, philosophiques et religieuses, la coopération avec d’autres partenaires...

L'économie sociale est avant tout l'histoire d'hommes et de femmes qui prennent collectivement des initiatives, qui lancent des activités pour répondre aux défis d'une époque, qui se mettent au service de l'homme et non de la rémunération de capitaux. En ce sens, l'économie sociale est plus une dynamique qu'une réalité figée.


1 Depuis la formulation de cette définition en 1990, certains ajouteraient volontiers dans les sociétés, la société à finalité sociale (apparue en 1996) et, dans les principes, le développement durable.






graphisme: www.pazlopez.com







Présentation

Comment entreprendre ? Manuel á l'usage des jeunes


Qu'est-ce que l'economie sociale ?

Quels sont les statuts
possibles ?

Quelles aides peut-on avoir ?




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Charte







Ni secteur privé classique, ni secteur public, l'économie sociale est généralement considérée comme un troisième secteur, un espace hors des étiquettes traditionnelles où économique rime avec éthique, solidarité et humanisme.
Aux États-Unis, on utilise les termes de non-profit organisations ; en Angleterre, de volontary sector ; dans les pays latins, on parle d'économie sociale ou encore d’économie solidaire. Mais si tous ces termes ne sont pas équivalents, ils désignent une même réalité : un troisième secteur.

En 1990, le Conseil wallon de l'économie sociale (CWES) a dégagé une définition qui fait une certaine unanimité1 :

"L'économie sociale regroupe les activités économiques exercées par des sociétés, principalement coopératives, des mutualités et des associations, dont l'éthique se caractérise par la finalité de service aux membres ou à la collectivité plutôt que de profit, l'autonomie de gestion, le processus de décision démocratique et la primauté des personnes et du travail sur le capital dans la répartition des revenus".

Ces principes se situent bien au niveau des finalités et des modes d'organisation.

â La finalité de service aux membres ou à la collectivité plutôt que de profit : l'entreprise d'économie sociale est elle-même, par la nature de son activité, un service rendu à ses membres ou à d'autres personnes et non un outil de rapport financier. Le dégagement de certains excédents est souvent un moyen de réaliser ce service, mais non le mobile principal de l'activité.

â L'autonomie de gestion : cette autonomie vise principalement à distinguer l'économie sociale de la production de biens et de services par les pouvoirs publics. Les activités économiques menées par ces derniers ne disposent pas, en général, de la large autonomie qui constitue un ressort essentiel de toute dynamique associative.
â Le processus de décision démocratique : la démocratie, dans le processus de décision, renvoie au principe central de la coopération "un homme/une voix". Difficile à mettre en œuvre dans les entités de grande taille, la participation du plus grand nombre à la décision est pourtant une exigence essentielle.

â La primauté des personnes et du travail sur le capital dans la répartition des revenus : ce principe traduit des pratiques variées au sein des entreprises d'économie sociale (rémunération limitée du capital, répartition des excédents entre les travailleurs ou entre les membres usagers sous forme de ristourne...). Il n'empêche cependant pas de reconnaître la nécessité d'offrir au capital une rémunération suffisamment attractive pour permettre, en particulier aux coopératives ou aux sociétés à finalité sociale, de développer leurs fonds propres.

Les quatre fondements énoncés par le CWES ne constituent qu’une base pour beaucoup d’entreprises d’économie sociale qui y ajoutent d’autres critères tels que l’importance de la formation et de la création d’emploi pour personnes peu qualifiées, le respect de faibles écarts entre les salaires les plus bas et les salaires les plus élevés au sein d’une même entreprise, l’inscription dans une démarche de respect de l’environnement, le pluralisme des opinions politiques, philosophiques et religieuses, la coopération avec d’autres partenaires...

L'économie sociale est avant tout l'histoire d'hommes et de femmes qui prennent collectivement des initiatives, qui lancent des activités pour répondre aux défis d'une époque, qui se mettent au service de l'homme et non de la rémunération de capitaux. En ce sens, l'économie sociale est plus une dynamique qu'une réalité figée.


1 Depuis la formulation de cette définition en 1990, certains ajouteraient volontiers dans les sociétés, la société à finalité sociale (apparue en 1996) et, dans les principes, le développement durable.






Site: www.pazlopez.com NZ






Philosophie Economique

14/07/2012 16:05



1- Livre II : Sociétés commerciales et groupements
3. Livre III : De certaines formes de ventes et de certaines clauses d’exclusivité (vente et droit de la distribution).
4. Livre IV : De la liberté des prix et de la concurrence (acte fondateur du droit de la concurrence).
5. Livre V : Les effets de commerce et les garanties (lettre de change, billet à ordre)
6. Livre VI : Les difficultés des entreprises (aboutissement du Droit commercial : Procédures collectives).
7. Livre VII : Juridiction commerciale (toujours consulaire à ce jour)
8. Livre VIII : De quelques professions réglementées (d’une part ceux

I.L'atanomie des fleurs ,des arbres Hegel

II.LA nature et la logique Hegel 

III.Principes de la nature et de la physique Hegel

IV-Phénomologie de la matiére et de l'instruments Hegel

V-Principes de structures de l'atome Hegel

V-Principes de souveraineté et notyions de classes de citoyens

VI-Etudes des phénomes de la nature et du temps

 

Avant de créer son entreprise
définissez votre idée, votre
projet : l’idée de votre activité
doit adpate aux marchés ;

Répresenattions relative du temps . le temps misgongyne de la caricature

Espaces temps 

 

Logique 

 






Vivendi

11/07/2012 21:34



Au cours de son cycle de vie, l'entreprise Vivendi a su évoluer, se diversifier et acquérir de nombreuses sociétés, mais aussi relâcher du capital quand des difficultés arrivaient. En 2002, Vivendi Universal contrôle 93% de Vivendi Entertainement (Universal Studios + Network USA), mais cède 20% du capital dans Vivendi Environnement. En 2003, Vivendi Universal et General Electric signent un accord définitif de fusion entre NBC et Vivendi Universal Entertainement. Suite à l'acquisition de 70% du capital de Cegetel, le groupe renomme son réseau de télécoms SFR-Cegetel. En 2004, Vivendi Universal cède ses parts dans diverses structures comme Monaco Telecom. NBC et Vivendi Universal fusionnent pour devenir NBC Universal. En 2006, Vivendi a augmenté son chiffre d'affaires de 7% passant alors à plus de 19 000 millions d'euros. C'est à travers divers communiqués, divers sites web, et autres sources que la stratégie du groupe apparaît. Vivendi ne se cache pas et dévoile les stratégies futures. Pour le moment, trois outils vont permettre une analyse plus précise de la stratégie, à savoir la chaîne de valeur, la matrice des 5 forces de Porter, le portefeuille d'activité de Mc Kinsey. Ces outils permettront alors de qualifier l'école normative du positionnement et de s'ouvrir à l'école entrepreneuriale puis celle de la culture.






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