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zaher.nourredine@gmail.com

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Créé le : 30/10/2011 10:35
Modifié : 26/12/2012 21:55

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Marché d'assurance

11/05/2012 16:41



L'assurance, pour schématiser, est l’assurance des sociétés d’assurances. Parfois appelée assurance secondaire, celle-ci ne peut pas exister sans l'étape préliminaire du transfert de risque que représente l'assurance primaire. La réassurance fait partie du secteur de l’assurance et de la finance en général.

 

On distingue plusieurs branches et sous-branches dans la réassurance (vie, non vie, dommages aux biens, responsabilité civile, etc.) qui se déclinent en trois grands types ou modes de réassurance (obligatoire, facultatives et facultative-obligatoire) qui peuvent eux-mêmes se conjuguer sous quatre grandes formes de contrats de réassurance (excédent de sinistre, excédent de pleins, excédent de perte, quote-part).

La plupart des contrats ont une durée d'un an avec pour date d'effet le 1er janvier, sur le marché Européen, 1er juillet sur le marché Américain, et 1er avril, pour le marché Japonais. Chaque année les contrats de réassurance sont renouvelés durant la période de renouvellement (renewal) qui marque traditionnellement le pic d'activité chez les réassureurs, les courtiers de réassurance et le département cession des cédantes.

Durant le renouvellement la cédante et/ou son courtier font généralement un appel d'offres de réassurance avec un type de contrat et des conditions préchoisies (parfois en accord avec le réassureur apériteur) décrites sur une note de couverture (slip). Les réassureurs proposent alors soit uniquement soit successivement, le prix (un taux sur l'assiette de prime du portefeuille) et la part qu'ils souhaitent pour participer à ce contrat ou programme de réassurance (parfois le taux de cession/rétention). La cédante choisira ensuite un taux de prime puis allouera les parts à chaque réassureur en leur envoyant une note de couverture définitive. Plus tard elle leur enverra le document contractuel (wording) qui définit plus en détail les règles et conditions du contrat de réassurance, que chaque partie signera.

Branches et sous-branches de la réassurance

Les différents types de réassurance suivent dans les grandes lignes ceux des assurances. Il s’exerce donc une première différence entre :

  • la réassurance vie (life en anglais),
  • et la réassurance non vie, dite aussi de dommage (non life).

La réassurance non vie se divise ensuite entre :

  • la réassurance de personnes (health),
  • la réassurance de responsabilité civile (casualty),
  • et la réassurance de biens (property).

La réassurance financière (financial ou bien finite) peut être considérée comme un type de réassurance à part (voir la section suivante).

Il existe aussi la réassurance dite en programme business qui couvre des risques liés aux grandes entreprises et qui existe surtout aux États-Unis.

Types ou modes de réassurance

Les trois modes de réassurance sont, par ordre de volume de primes, la réassurance obligatoire réalisée par traités (treaties) qui couvre tout le portefeuille d'une cédante dans une sous-branche, comme le portefeuille automobile ou incendie par exemple. Ensuite vient la réassurance facultative réalisée par des facultatives (facultatives en anglais) qui couvre un ou plusieurs risques ou polices spécifiques de la cédante et qui sont explicitement décrits. Enfin beaucoup plus rare, la réassurance facultative-obligatoire qui réalise un mélange des deux modes précédents. Par définition, la réassurance en traité couvre des sommes beaucoup plus importantes et le réassureur doit accepter de couvrir tous les risques de la sous-branche de la cédante, alors que la réassurance en facultative ne couvre qu'un ou quelques risques choisis par les deux parties. Elle réclame donc une expertise plus importante et se rapproche de la souscription en assurance. Dans la réassurance facultative-obligatoire, la cédante choisit quels sont ses risques qui seront cédés au réassureur qui doit accepter de couvrir tous ces risques.

Formes de réassurance

Réassurance proportionnelle

La réassurance proportionnelle consiste en une participation proportionnelle du réassureur aux gains (primes) et pertes (sinistres) de la cédante. Et dans le cadre de la réassurance proportionnelle, le réassureur en contrepartie d'une portion ou partie prédéterminée de la prime d'assurance facturée par la cédante, indemnise cette dernière contre une portion déterminée des sinistres couverts par la cédante au titre des polices concernées et des LAE (Loss Adjustment expenses).

 






developpement cognitif

02/05/2012 16:57




Décrire les stades de développement cognitif et de développement du langage des étudiants
Élaborer sur le statut affectif, social, moral des étudiants ainsi que sur leur genre
Définir l'adolescence et expliquer le développement physique, cognitif et psychosocial des adolescents ainsi que les défis qu'ils font peser sur les adolescents

Expliquer l'étude et les aspects du développement, les influences qui le modifient ainsi que les différences individuelles






L?éducation est l?art de faire passer le conscient dans l?inconscient

23/04/2012 12:22

L?éducation est l?art de faire passer le conscient dans l?inconscient


L’instruction tournée uniquement vers les questions d’examen y perd tout caractère scientifique et n’exerce que la mémoire. Comme on ne demande au polytechnicien que d’apprendre son cours, et qu’on n’exige de lui aucun travail personnel, rien ne permet de distinguer sa véritable valeur : ceux qui ont beaucoup de mémoire et peu d’intelligence peuvent obtenir des notes de supériorité, même en mathématiques. On les retrouve souvent la sortie dans les premiers rangs.

 

La transformation de notre enseignement étant à peu près impossible, à quoi peut bien servir un nouveau livre sur l’éducation ? Ne sait-on pas, d’ailleurs, que les piles innombrables de ceux qui paraissent journellement sur ce sujet n’ont guère d’antres lecteurs que leurs auteurs ?

 

C’est justement ce que je me disais lorsque, il y a plus de sept ans, navré de l’état d’abaissement où nous conduisait notre Université, je songeais à rédiger ce volume. Je me résolus cependant à l’écrire, d’abord parce qu’on ne doit jamais hésiter à dire ce qu’on croit utile, et ensuite parce que j’étais persuadé que, tôt ou tard, une idée juste finit toujours par germer, quelque dur soit le rocher où elle est tombée.

 

Je n’ai pas regretté la publication de cet ouvrage. Il a eu des lecteurs nombreux, sur lesquels je ne comptais guère, et une influence spéciale moins espérée encore. Cette influence ne s’est pas exercée sur une Université, trop vieille pour changer, mais sur une catégorie d’hommes auxquels je n’avais nullement songé.

 

Il est advenu, en effet, que mes recherches ont fini par trouver un écho dans une importante école, destinée à former nos futurs généraux. Je veux parier de l’École de guerre, établissement très heureusement soustrait à l’action de l’Université. De sa­vants maîtres, le général Bonnal, le colonel de Maud’huy, et bien d’autres y ont inculqué à une brillante élite d’offi­ciers les principes fondamentaux développés dans cet ouvrage.

 

C’est dans la profession militaire surtout que devait apparaître l’utilité de métho­des permettant de fortifier le jugement, la réflexion, l’habitude de l’obser­vation, la volonté et la domination de soi-même.

 

Acquérir ces qualités, puis les faire passer dans l’inconscient, de façon à ce qu’elles deviennent des mobiles de conduite, constitue tout l’art de l’éduca­tion. Les officiers ont parfaitement compris ce que les universitaires n’avaient pu saisir. Une nouvelle preuve m’en a été fournie par l’ouvrage récent de M. le com­mandant d’état-major Gaucher, Étude sur la psychologie de la troupe et du commandement, où se trouvent reproduites les conférences faites par lui à des offi­ciers pour leur exposer les méthodes d’éducation que j’ai développées, en me basant sur les données moder­nes de la Psychologie. Ce sera peut-être par l’armée que notre Université subira la transformation qu’elle refuse d’accepter.

 

Ce n’est pas seulement dans l’armée française que les principes d’éducation établis dans cet ouvrage commencent à se répandre. Dans une fort remar­quable étude publiée par The Naval and rnilitary Gazette du 8 mai 1909. l’auteur s’exprime ainsi :

 

“ On n’a jamais donné une meilleure définition de l’éducation que celle due à Gustave Le Bon : “ L’édu­cation est l’art de faire passer le conscient dans l’incon­scient ”. Les chefs de l’état-major général anglais ont accepté ce principe comme la base fondamentale de l’établissement d’une unité de doctrine et d’action dans l’édu­cation militaire dont nous avions si besoin. ”

 

L’auteur montre très bien l’application de ce principe dans les nouvelles instruc­tions de l’état-major. Ce dernier a fort bien compris que ce n’est pas la raison mais l’instinct qui fait agir sur le champ de bataille, d’où la nécessité de transformer le ration­nel en instinctif par une éducation spéciale. C’est de l’inconscient que surgis­sent les décisions rapides. “ L’habileté et l’unité de doctrine doivent, par une éduca­tion appropriée, être rendues instinctives. ”






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